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DURBAN 2 - APPEL A LA MOBILISATION DES CHRETIENS

 
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shofar
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MessagePosté le: Ven 13 Mar - 17:25 (2009)    Sujet du message: DURBAN 2 - APPEL A LA MOBILISATION DES CHRETIENS Répondre en citant

Durban II - Appel à la mobilisation des chrétiens
 



De Jérusalem,
Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ


 
  Chers amis,

Les mosquées commencent à fleurir en France, quand les églises sont interdites ou détruites dans les pays islamiques... A Strasbourg, la grande Mosquée est en cours de construction, après avoir obtenu une subvention de 610.000 euros... A Toulouse, les trois mosquées seront construites avant 2010, et celle de Bordeaux contiendra 2500 personnes.


En avril prochain un événement de portée internationale portant sur le racisme se déroulera à Genève. Il a pour nom Durban II. A priori, nous ne pouvons qu'applaudir à cette proposition de lutte contre le racisme, sauf que là, tout est pipé. L'ensemble des nations de tendance islamique feront tout pour salir un pays, une nation qui les dérange depuis sa création et qu'ils souhaitent voir disparaître : Israël. Qui plus est, les décisions devant être prises à cette conférence serviront à interdire au monde de porter la moindre critique sur l'Islam dans l'avenir - cela deviendra un « délit de blasphème ». L'Europe va-t-elle cautionner cette mascarade ? Les autorités chrétiennes vont-elles rester indifférentes à cette prise de pouvoir spirituelle ? Chacun sait ce qu'il advient des pays qui vivent sous la loi de la sharia. Les droits les plus élémentaires de l'homme et de la femme sont bafoués... au nom de l'Islam.

« Que pouvons-nous faire, nous chrétiens ? Une chose est certaine : nous ne devons pas sous-estimer cette situation ni nous contenter de rester des spectateurs de cet événement, comme si nous n'étions pas concernés ! ». Ci-dessous la lettre d'avertissement solennelle d'un pasteur.



 
           
           


 
APPEL A LA MOBILISATION DES CHRETIENS
 
 
 
 
 
J'ai appris qu'une conférence de l'ONU sur les Droits de l'Homme et la lutte contre les discriminations racistes dans le monde se préparait, pour avril 2009, à Genève. Appelée « Durban 2 », elle fait suite à une 1re conférence qui s'est tenue à Durban (RSA) au début septembre 2001. J'ai entrepris quelques recherches et il me paraît très important de partager avec le plus grand nombre de chrétiens ce que j'ai découvert. Mais d'abord, je voudrais vous faire part d'une expérience spirituelle vécue le 27 décembre, à Genève. Ce soir-là, nous nous étions joints, pour la première fois, à la soirée de louange organisée par le centre ADELEA. Alors que je me déplaçais dans la salle tout en priant, je me suis arrêté devant une vue panoramique de Genève qui s'étale sur un pan de mur. Brusquement, le St Esprit m'a rappelé les paroles de Jésus lorsqu'il pleurait sur Jérusalem, mais en disant : « Genève, Genève, combien de fois ai-je voulu rassembler mes enfants ... ». Puis s'est ajoutée cette phrase de l'Apocalypse, adressée à l'Eglise de Pergame : « Je sais que là où tu habites est le trône de Satan ». Je ne comprenais pas ce que cela signifiait, jusqu'à ce que je me rappelle que Genève est le siège du Palais des Nations, grand repaire de la franc-maçonnerie mondiale et symbole de ce que l'Humanité veut faire sans Dieu. Cela vous permettra de mieux comprendre la suite. 
 
D'abord, un petit rappel de ce qui s'est passé à Durban en 2001. C'était la 1e conférence mondiale contre le racisme, organisée par l'ONU, et de nombreuses ONG du monde entier y étaient invitées ; a priori une bonne chose ! Or, très vite, sous l'impulsion des délégations arabo-musulmanes, en particulier parmi les ONG, cette conférence contre le racisme s'est transformée en la manifestation la plus extrême d'antisémitisme depuis la 2e GM, au point que des gens ont déferlé dans les rues de Durban aux cris de « Mort à l'Amérique ! Mort à Israël ! Mort aux Juifs ! ». Ecœurés, les USA et Israël ont quitté la conférence. Les ONG avaient préparé une Déclaration finale que Mme Mary ROBINSON, haut commissaire pour les Droits de l'Homme à l'ONU de l'époque, a dû refuser, c'est tout dire ! Des projets ont été cependant lancés pour essayer de lutter, à juste titre, contre le racisme dans le monde, et ce sont les résultats de ces démarches que Durban 2 veut vérifier. 
 
Cette 2e conférence se tiendra au Palais des Nations de Genève, du 20 au 24 avril 2009. D'ores et déjà, elle s'inscrit dans la continuité de l'esprit qui a animé Durban 1, ce qui fait dire à Mark DUBOWITZ, du Wall Street Journal : « La conférence mondiale contre le racisme en 2009 cherchera à saper les sociétés libres en invoquant le spectre de l'islamophobie. L'ordre du jour est contrôlé par l'Organisation de la conférence islamique pour qui la liberté d'expression est la cause de l'islamophobie. A moins que l'UE refuse d'y participer, le résultat sera l'introduction en droit international d'une définition de l'islamophobie qui englobe toute critique de l'islam radical et des actes posés par des musulmans. Tous les pays devront ensuite harmoniser leur législation interne et créer un délit de blasphème». En effet, elle sera présidée par le Libyen KHADAFI, assisté par les iranien, pakistanais et cubains ... des modèles en matière de démocratie et de respect des Droits de l'Homme !! Déjà, la conférence régionale africaine a donné le ton : il n'y a aucun problème de racisme en Afrique, ni au Soudan, ni au Kenya, ni au Rwanda, ni en Afrique du Sud, ni au Zimbabwe, ni ... etc. Sauf en Israël qui, comme chacun sait, fait partie de l'Afrique ! Comme par hasard, des conférences préparatoires ont été programmées durant les fêtes juives, empêchant ainsi la participation des ONG et délégations juives ou israéliennes. Enfin, le 18 décembre 2008, l'Assemblée générale de l'ONU a adopté une résolution non contraignante sur le dénigrement des religions - mais seul l'islam est mentionné clairement comme religion dénigrée - et propose en conséquence d'agir pour l'« élimination de toutes les formes d'intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction » ; elle a été votée par les pays musulmans, communistes et par certains autres comme la Russie. Les intolérants sont bien évidemment les Occidentaux chrétiens ou les Juifs, ou ceux qui dénoncent les abus religieux ! Quant aux nombreux chrétiens persécutés dans le monde, il n'en est jamais fait mention !  
 
Quelques pays ont déjà signalé qu'ils n'y participeraient pas : les USA, le Canada, Israël et, tout récemment, l'Italie. D'autres ont menacé de boycotter cette conférence si elle centrait ses débats sur les religions et Israël (Pays-Bas, Belgique, Danemark, Allemagne, Royaume-Uni et France) : « Nous ne pourrons tolérer un texte plaçant la religion au dessus de l'individu, qui ne condamne pas l'antisémitisme, et qui décrie de manière particulière l'Etat d'Israël » a affirmé le chef de la diplomatie néerlandaise. A l'heure actuelle, rien n'est joué et cette conférence serait un échec si les pays de l'UE n'y participaient pas. L'ambiance est déjà très tendue : des incidents se sont produits avec les médias (cf. ARTE), des protestations énergiques ont été faites et des débordements sont à craindre pendant la conférence, comme en 2001 à Durban. 
Que pouvons-nous faire, nous chrétiens ? Une chose est certaine : nous ne devons pas sous-estimer cette situation ni nous contenter de rester des spectateurs de cet événement, comme si nous n'étions pas concernés ! [...] 
 
 
 
Pour recevoir la lettre en totalité et les consignes d'actions et de prière 
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MessagePosté le: Ven 13 Mar - 17:28 (2009)    Sujet du message: DURBAN 2 - APPEL A LA MOBILISATION DES CHRETIENS Répondre en citant

Conc.: LIBERTÉS INDIVIDUELLES, LE RÔLE DU PARLEMENTAIRE 
Bruxelles, le (aux dates des 6 et 10 Mars 2009) 
Monsieur le Député, 
Vous avez certainement eu connaissance de la teneur du projet de déclaration finale de ce qui 
est fréquemment appelé Durban II, mais qui, plus exactement, sera la Conférence de Genève 
des 20-24 avril 2009. 
En voici un extrait significatif : “Seriously concerned at the instances of defamation of religions,
which manifests itself in projecting negative, insulting and derogatory images of religions and 
religious personalities, generalized and stereotypical association of religions, in particular Islam, 
with violence and terrorism, thus impacting negatively on the rights of individuals belonging to 
these religions, including Muslim minorities, and exposing them to hatred and discrimination.” 
 
Cette disposition n’est pas la seule en ce sens. À la faveur d’une qualification discutable, la 
diffamation de religion, l’on en vient à privilégier l’islam, et la réalité du terrorisme islamique est 
invoquée pour présenter cette religion en victime du discrédit qui en résulte. Nul ne conteste 
que tout musulman n’est pas nécessairement un terroriste, mais cette victimisation de l’islam, 
en tant que religion, respectable a priori, pour éluder essentiellement la discussion au sujet de 
l’idéologie qu’elle véhicule, est un détournement de la lutte contre le racisme. Ce texte
émane du Conseil des Droits de l’Homme (c-à-d. l’ex Commission des Droits de l’Homme) des 
Nations Unies. 
Vous connaissez les outrances de Durban I. Sachez qu’elles vous paraîtront anodines à côté de 
ce qui se prépare dans la perspective de Durban II (Genève). 
Le comité préparatoire de Durban II (Genève) est placé sous la présidence de la Libye, et sous 
la vice-présidence de l’Iran. 
Autre fait à relever : depuis 2008, c’est par la Turquie que les États européens se sont fait 
représenter pour certains travaux. En d’autres termes, déclarant s’opposer au concept de 
 
“diffamation de religion” d’inspiration islamique, ils ont estimé judicieux de se faire représenter
par un État qui, lui, s’était délibérément placé dans un ensemble de pays prônant l’application 
de la charia, exclusivement. 
 
1 / 2 
CABINET D’AVOCATS 
1 rue de la Pépinière 
B - 1000 Bruxelles 
􁽸 +32.475.79.30.31
Fax: +32.2.511.12.91 
chansay-wilmotte@skynet.be 
 
DURBAN II 
CONFÉRENCE DE GENÈVE 
Courrier adressé à tous les parlementaires 
de France, de Suisse, 
de Belgique et du Luxembourg, 
et aux députés européens francophones 
(version anglaise à d’autres parlementaires) 
Il existe un traité, émanant de l’ORGANISATION DE LA CONFÉRENCE ISLAMIQUE, stipulant 
que les États membres s’en réfèrent à la charia, et s’emploient à bannir tout ce qui s’en écarte. 
Ce traité constitue un pacte d’intolérance (voir note ci-jointe : p.3) en ce que son objet est de
solidariser les États islamiques dans cette optique liberticide (dont la Turquie, qui est membre 
de l’ORGANISATION DE LA CONFÉRENCE ISLAMIQUE). 
Le fait est que les doléances de l’ORGANISATION DE LA CONFÉRENCE ISLAMIQUE ont été 
reprises dans ce texte du Conseil des Droits de l’Homme. Au moins deux PRIX NOBEL1 (voir
note ci-jointe : p.4) ont fustigé cette dérive portant atteinte aux libertés individuelles. 
Il faut une solide dose d’angélisme, de complaisance ou de pusillanimité pour croire, ou affecter 
de croire, qu’il suffirait d’amender ce texte pour annihiler la dynamique qu’il lancera, et que 
relayeront ensuite à l’encontre de l’État ou du citoyen, au nom de l’antiracisme, les réseaux 
d’ONG militantes en ce domaine, sans compter les États islamiques eux-mêmes. La lutte contre 
le racisme est évidemment un combat louable. Cela étant, oeuvrer en ce sens sans comprendre 
que l’adoption de ce texte va, à l’inverse, aggraver le racisme de façon fulgurante (voir note 
ci-jointe : p.1), n’est pas le révélateur d’un haut degré de discernement. 
Outre ce pacte d’intolérance, singulièrement méconnu en l’espèce, et la discussion quant au 
délit de “diffamation de religion” ou encore l’assimilation de toute opinion contraire à l’islam à de
l’islamophobie (ce que, de surcroît, ce texte assimile à du racisme), il en découlera, en droit 
interne, l’inversion de la responsabilité pénale. Cela bouleversera le fondement même du
droit pénal. Jusqu’à présent, le prévenu est jugé pour un acte qu’il a commis, et en tenant 
compte de sa personnalité. Or, en souscrivant au texte du Conseil des Droits de l’Homme de 
l’O.N.U., les États s’engagent ipso facto à s’orienter dans la voie d’autres modalités d’imputation 
de culpabilité : la criminalisation sera fonction du ressenti d’autrui (“en particulier l’islam”, selon
les termes dudit texte du Conseil des Droits de l’Homme de l’O.N.U. : cfr. supra). C’est le critère 
du plus réfractaire à la liberté d’opinion qui déterminera ainsi l’existence du délit, et non l’intention 
de celui qui se sera exprimé. 
J’écris un article au sujet de cette dérive concernant les droits de l’Homme, et de ses implications 
juridiques, notamment à propos de l’antiracisme ; aussi, vous m’obligeriez en me faisant 
part de votre position quant à la situation à cet égard, et en m’informant à propos des initiatives 
que vous auriez prises, ou que vous entendriez prendre en la matière. Je suis persuadé qu’en 
votre qualité de parlementaire, vous y êtes d’autant plus attentif que ce processus s’inscrit dans 
la perspective de changements profonds de la Loi, et que la Conférence de Genève (Durban II) 
est très proche : 20-24 avril 2009. 
Pour votre facilité, j’ai joint à la présente, une note relative à l’état de la situation afin de vous 
permettre de vous forger une opinion dans l’hypothèse où vous n’auriez pas eu connaissance 
des éléments s’y trouvant, car il est vrai qu’à ce sujet, l’information est plutôt parcellaire pour ne 
pas dire lacunaire. 
J’attends donc le plaisir de vous lire. 
Veuillez croire, Monsieur le Député, à l’assurance de ma haute considération. 
Philippe CHANSAY WILMOTTE 
Annexe précitée 
 
 
 
 
 
4 / 4 
1 Elie WIESEL, Prix Nobel (1986) et Georges CHARPAK, Prix Nobel (1992) 
LA PORTÉE ATTENTATOIRE AUX LIBERTÉS INDIVIDUELLES DE DURBAN II (GENÈVE) 
L’objectif poursuivi par les tenants du projet de déclaration finale de la Conférence de Genève 
(Durban II) est de nature législative, et à ce titre, cette manoeuvre liberticide concerne 
évidemment, dès à présent, tout parlementaire ; ne serait-ce que dans le cadre de sa 
compétence d’interpellation du Gouvernement. Les États sont quasiment enjoints d’adapter 
leurs législations en y intégrant la teneur de ce texte qui entravera fondamentalement les 
libertés individuelles. 
Certes, la déclaration finale d’une telle conférence n’aura pas d’effet direct dans l’ordre juridique 
interne, mais elle n’est pas pour autant insignifiante en droit. Dans la mesure où l’État y aura 
participé, la déclaration finale de la Conférence de Genève lui sera opposable. 
Le Canada a compris les implications juridiques de la manoeuvre, et a décidé de ne pas 
participer à la Conférence de Genève. Israël en a fait autant, et a lancé un appel invitant la 
communauté internationale à ne plus prêter son concours à ce processus tendant à introduire 
de facto la charia dans les législations occidentales, entre autres. Si cet objectif peut paraître 
invraisemblable, la lecture dudit projet de déclaration finale démontre à suffisance que c’est 
néanmoins le cas. Aussi outrancière que soit cette exigence, c’est une réalité. Singulièrement, 
l’État où vous exercez votre mandat, n’a pas encore pris ses distances, malgré la proximité de 
cette conférence (20 avril 2009) et semble maintenir sa participation, représenté par la Turquie. 
L’on comprend naturellement qu’il faille lutter contre le racisme. C’est précisément pour ce motif 
qu’il importe de ne pas se laisser entraîner dans un processus qui étend largement ce fléau. 
Ce texte assimile la critique de l’islam à de l’islamophobie ; autrement dit, tout débat d’idées 
devra être interdit. Il tend à censurer, sous prétexte de ”diffamation de religion”, toute critique de
ce que véhicule le coran, en ce compris l’exaltation du racisme et d’autres formes de 
ségrégations ; c-à-d. les discriminations entre arabes et non arabes (dont la stigmatisation des 
juifs2 est l’aspect de plus connu), entre musulmans et non musulmans, sans parler de la
tradition de dénigrement des populations noires (En langue arabe, le même terme désigne 
l’esclave et le noir, ce qui est significatif de la culture arabo-musulmane qui est intrinsèquement 
liée à la religion). Et que dire des implications de la charia quant aux droits des femmes, quant 
à l’instrumentalisation3 des enfants, et quant à l’intolérance violente visant les gays et les
lesbiennes ? 
Non seulement le coran véhicule une idéologie foncièrement hostile aux libertés individuelles (et 
il sera alors interdit de défendre lesdites libertés face à un activiste musulman), mais s’abstenir 
de marquer, dès maintenant, l’arrêt de ce processus pernicieux impliquera le bouleversement 
du fondement même du droit pénal. J’y reviendrai ci-dessous. L’État où vous exercez votre 
mandat, est du nombre de ceux qui se sont laissés surprendre par Durban I, et le moins que 
l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas ouvertement manifesté sa détermination à empêcher la 
réitération de cette faute majeure puisqu’il s’inscrit encore dans la perspective d’une participation 
à la Conférence de Genève (Durban II). L’on dit qu’un âne ne butte jamais deux fois sur la 
même pierre. Quid de l’État ? 
Qui plus est, favoriser l’emprise de la charia serait un signe néfaste vis-à-vis des musulmans, 
pratiquants ou non, nationaux ou allochtones. Ce serait violer leurs droits fondamentaux que de 
pratiquer un amalgame de nature ségrégationniste en présumant que nés en milieux musulmans, 
ils seraient destinés à vivre leur foi selon les diktats des plus intégristes. Ce serait tenir 
 
 
 
4 / 4 
2 Généralement qualifiée d’antisémitisme, improprement dès lors que les arabes sont aussi des sémites
et s’en prévalent d’ailleurs pour nier l’existence de l’antisémitisme de leur part. 
 
3 Fillettes pré-pubères mariées en bas âge, à partir de 6 ans selon le modèle du prophète Mahomet,
justification religieuse de l’endoctrinement militariste de mineurs, etc. 
 
pour rien ceux qui appelent à un islam des lumières. Ce serait brimer ceux qui ont choisi 
l’athéisme ou ceux qui ont décidé de changer de religion. Va-t-on sanctionner pénalement 
l’apostasie et l’hérésie ? Souscrire à ce texte, serait ouvrir la boîte de Pandore en légitimant 
d’emblée toute revendication émanant d’activistes radicaux, lesquels auront alors beau jeu de 
s’offusquer si quiconque s’avisait de critiquer le prescrit religieux invoqué. 
En outre, ces revendications tendent systématiquement à modifier davantage les règles en 
vigueur dans les pays occidentaux, toute concession octroyée générant une exigence accrue. 
Vous n’ignorez pas que cette attitude irrite, de façon générale, la population dont vous êtes le 
représentant. Tout récemment, le Gouvernement de Norvège l’a constaté à ses dépens à deux 
reprises en moins de deux semaines. Après l’annonce d’un projet de loi qui allait inscrire le 
blasphème au rang des délits, il escomptait modifier l’uniforme des policières en y autorisant le 
port du hijab. Confronté à la réaction soudaine et massive de la société civile4, le
Gouvernement de Norvège a été contraint de reculer dans les deux cas, afin de minimiser, mais 
trop tard, l’impact désastreux qu’il avait provoqué de ce fait. Les seuls gagnants sont ses 
adversaires politiques. 
Cette affaire du hijab est particulièrement symptomatique de la façon dont procèdent les 
activistes musulmans. 
Une Algérienne a d’abord obtenu la nationalité norvégienne, puis, elle a demandé à être 
intégrée à la Police en signalant d’emblée qu’elle y mettait une condition : être autorisée à 
porter le hijab. Poursuivant un but louable, c-à-d. s’assurer que la Police reflète toutes les 
couches de la société, le Ministre norvégien de la Justice s’y était déclaré favorable, sans 
toutefois avoir compris, semble-t-il, dans quel engrenage il engageait son Gouvernement, car 
enfin, à satisfaire une telle exigence, pourquoi en refuser d’autres de même nature ? Comme l’a 
relevé Sugharan KHAN, une policière d’Oslo, dans une interview reprise par divers 
journaux norvégiens : “- Que diront-elles ensuite ? Qu’elles ne peuvent pas patrouiller avec des
hommes ?”.
Ce qui, au départ, n’apparaissait que comme un acte individuel, spontané ou téléguidé, peu 
importe eu égard à la suite, a aussitôt été relayé par les activistes musulmans. Shoaib SULTAN, 
secrétaire général du CONSEIL ISLAMIQUE DE NORVÈGE a déclaré: “- Le port du hijab est
une obligation religieuse, pas un symbole.”. Et le discours victimaire a aussi été utilisé, les
meneurs islamistes affirmant qu’interdire le hijab serait contraire au droit international, et restreindrait 
le droit au travail des minorités religieuses. Soulignons, au passage, l’usurpation de la 
revendication au nom des minorités dont les activistes musulmans ne sont pas représentatifs5.
L’on pourrait multiplier les exemples, y compris avec ce qui a déjà été constaté dans le pays où 
vous exercez votre mandat (violences prônées au détriment des femmes, mariages forcés, 
crimes d’honneur, etc.), où le droit est invoqué pour tenter d’obtenir des avantages, et où il est 
catégoriquement dénié6, lorsqu’il ne convient pas aux desseins des activistes musulmans, sous
prétexte que l’islam leur interdirait d’observer la loi civile si elle contrevient à la charia. 
 
 
 
 
 
 
 
4 / 4 
4 Le DAGBLADET, pour ne citer que ce quotidien, a enregistré 165.000 réactions, en 24 heures. Le taux d’opposition
était de 89 % (Réactions analogues contre le projet de loi pénalisant le blasphème). En outre, sur FACEBOOK, des 
bloggers ont constitué le groupe de discussion “Non au hijab dans la Police”. Ils ont réuni 50.000 internautes en 
quelques jours. 
 
5 Les activistes musulmans n’ont pas été élus par les minorités, et celles-ci ne s’en solidarisent pas. 
6 Mouhanad KHORCHIDE, enseignant la religion islamique, vient de soutenir sa thèse de doctorat à l’UNIVERSITÉ
DE VIENNE. Après avoir réalisé une enquête auprès des 400 enseignants de sa branche, en Autriche, il révèle que 
22 % d’entre eux considèrent que la démocratie n’est pas compatible avec l’islam. Anecdote significative, l’un de 
ceux-ci a récemment lancé un appel au boycott des “magasins juifs”. 
 
Les États islamiques7, puisque c’est ainsi qu’ils se définissent eux-mêmes au mépris de leurs
citoyens d’autres confessions, sont fermement déterminés à pratiquer la christianophobie
et, plus généralement, à réprimer la liberté religieuse et le droit d’être athée. La preuve en
est qu’ils ont conclu, entre eux, un traité où ils s’engagent mutuellement à exclure ce qui 
s’écarte de la charia. Sous couvert de protection de l’enfance, l’ORGANISATION DE LA 
CONFÉRENCE ISLAMIQUE les a réunis par la “Convention des Droits de l’Enfant en Islam” 
 
 
 
(sic). En guise d’éveil de “son sens de la citoyenneté et de la solidarité islamique”, ils ont, en
concluant ce traité, souscrit l’obligation de bannir de l’univers de l’enfant, autrement dit de la 
société dans son ensemble, tous “les facteurs d’aliénation culturelle, intellectuelle, médiatique et
des télécommunications incompatibles avec la charia islamique ou (sic) contraires aux intérêts
nationaux des États parties”. À l’évidence, tant que les États islamiques (dont la Turquie8)
n’auront pas abrogé, au minimum minimorum, ce pacte d’intolérance, Durban II (Genève) ne
sera qu’un marché de dupes. 
Un exemple ? Voici l’une des positions défendues dans le cadre du Conseil des Droits de 
l’Homme de l’O.N.U. : “Le Royaume d’Arabie saoudite a souligné à maintes reprises que les
médias devraient s’abstenir de publier ou diffuser quoi que ce soit susceptible d’encourager un 
comportement déviant, le fanatisme, l’extrémisme ou le terrorisme. Il a souligné également 
l’importance qui s’attache à la sûreté publique et à la sécurité publique. Le Royaume réitère à 
ce propos sa condamnation du dénigrement et de la diffamation de religions que certains États 
permettent au nom de la liberté d’expression et qui contribuent à inciter à l’extrémisme religieux 
dans le monde musulman.” (Rap. A/HRC/WG.6/4/SAU/1, 11/12/08, p.25 n°67, Conseil des Droits de l’Homme) 
 
 
 
 
 
 
Bref, l’on assiste à un déni des réalités, assorti d’une double inversion de l’approche. 
1° Dans le cadre du Conseil des Droits de l’Homme de l’O.N.U., le terrorisme islamique est 
présenté comme un phénomène étranger aux États islamiques, et ceux qui le subissent, 
auraient tort d’en concevoir des griefs, car cela constituerait une phobie à l’encontre du monde 
musulman tout entier. De cette inversion, découle le concept d’islamophobie9 afin, l’assimilant
au racisme, de censurer toute discussion susceptible de déplaire aux États islamiques et aux 
activistes musulmans. 
2° De la part de pays fondamentalistes, l’extrémisme ne serait pas une expression radicale de 
l’islam, mais une simple réaction à l’exercice des libertés d’opinion et d’expression reconnues 
au sein des États démocratiques. À suivre cette inversion de raisonnement, le coupable 
d’exactions ne serait pas celui qui a pris les armes, mais celui qui a exprimé une opinion 
pacifiquement, par voie de Presse, qui n’a pas eu l’heur de plaire à l’auteur desdites exactions 
dont la violence, elle, est justifiée par la charia. Et la solution préconisée en découle tout aussi 
logiquement : la censure. 
Ce déni de réalité assorti de cette double inversion de l’approche, conduit naturellement à 
l’inversion de la responsabilité pénale.
Autrement dit, la limite au droit d’expression étant ainsi fixée par la susceptibilité du plus 
intolérant, ce que le plus radical estimera indiscutable ne pourra plus être discuté, car son 
intransigeance pourrait le conduire à se sentir insulté. Or, une opinion divergente, même 
désagréable à entendre, n’est pas, en elle-même, constitutive d’insulte. Néanmoins, exprimer 
une opinion critique à l’égard du prescrit religieux, devra être prohibé. Le prévenu sera alors 
 
 
4 / 4 
7 Au contraire, l’Union européenne ne s’est jamais qualifiée de structure d’États chrétiens. Lorsqu’il a été question
non pas d’une telle qualification à connotation religieuse, mais seulement d’évoquer son Histoire judéo-chrétienne, 
cela a soulevé un concert de protestations. Une indignation qui ne se manifeste pas lorsqu’il s’agit, à l’échelle de 
57 pays, de l’exclusion de la laïcité ou de toute confession autre que l’islam, par l’usage de la qualification d’États 
islamiques. 
 
8 La Turquie est intégrée à l’ORGANISATION DE LA CONFÉRENCE ISLAMIQUE. Ce pays d’Asie mineure, prétendument
européen, confirme en cela son refus (au-delà d’accommodements de façade pour contenter Bruxelles) de 
respecter les valeurs des sociétés multi-culturelles, dès lors qu’il prône ainsi la charia. 
 
9 Concept sémantique revitalisé par la propagande des mollahs iraniens pour stigmatiser leurs adversaires. 
jugé non parce qu’il aura insulté qui que ce soit, mais parce que son opinion aura été criminalisée 
en fonction du ressenti du plus intolérant qui y aura vu une insulte, ne supportant pas la 
contradiction. 
Admettre la censure et entraver la liberté d’opinion en prohibant la liberté d’expression, toute 
critique étant réprimée par l’inversion de la responsabilité pénale, orienterait la démocratie vers 
un tout autre choix de société ... Kant aurait-il pu poser la question de l’existence de Dieu ? Que 
vaudrait la recherche scientifique si elle devait être placée sous tutelle religieuse ? Sous quel 
carcan les universités devraient-elle mener leurs travaux et dispenser leurs enseignements ? 
Les tribunaux (comme cela a déjà été soutenu au Canada, en France, et en Allemagne, 
notamment) devraient-ils tenir compte de la charia ? Que deviendraient les différents courants 
littéraires si l’inspiration ne pouvaient plus s’écarter des prescrits coraniques ? Et quel avantage 
y aurait-il à renoncer à l’enrichissement tiré de la diversité propre aux sociétés multi-culturelles 
pour se soumettre aux psycho-rigidités de fondamentalistes religieux ? 
Cette réalité a été très judicieusement relevée par la LICRA (LIGUE INTERNATIONALE 
CONTRE LE RACISME ET L’ANTISÉMITISME). Sa pétition appelant à la vigilance quant à la 
portée de ce texte du Conseil des Droits de l’Homme de l’O.N.U. a recueilli l’aval de signataires 
dont l’autorité morale à cet égard est notoire : l’on trouve parmi eux, par exemple, Georges 
CHARPAK10, Elie WIESEL11, Alain FINKIELKRAUT, Mohamed SIFAOUI, Elisabeth BADINTER,
Chahdortt DJAVANN ou Michel ZAOUI : “Le Conseil des Droits de l’Homme est devenu une
machine de guerre idéologique à l’encontre de ses principes fondateurs. (...) si le blasphème
devait être assimilé à du racisme, si le droit à la critique de la religion devait être mis hors la loi, 
si la loi religieuse devait s’inscrire dans les normes internationales, ce serait une régression aux 
conséquences désastreuses, et une perversion radicale de toute notre tradition de lutte contre 
le racisme, qui n’a pu et ne peut se développer que dans la liberté de conscience la plus 
absolue.” 
 
 
 
Dont acte ! 
4 / 4 
10 Prix Nobel, 1992 
11 Prix Nobel, 1986 

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Gilles (shofar)


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MessagePosté le: Ven 13 Mar - 17:30 (2009)    Sujet du message: DURBAN 2 - APPEL A LA MOBILISATION DES CHRETIENS Répondre en citant

A PRENDRE TRÈS AU SÉRIEUX,
Lire Daniel ch 10-12 et Apoc 13 -17-18 et Osée 10:12

 

La lettre en pièce jointe est importante :
 
 
 
Date: Jeudi 12 Mars 2009, 7h17 


 
D'éminents intellectuels tels que les Prix NOBEL Elie WIESEL et Georges CHARPAK, ont fustigé les tentatives d'islamisation auxquelles se prête la structure onusienne dévoyée, dite improprement "Conseil des Droits de l'Homme". Durban I a été littéralement une mascarade qui restera dans l'Histoire de l'ONU comme l'une des pires pages d'exaltation du racisme antioccidental et de l'antisémitisme. Durban II (c-à-d. la Conférence de Genève des 20-24 avril 2009) s'annonce encore plus outrancier. Son comité préparatoire est présidé par la Libye ; sa vice-présidence ayant été attribuée à l'Iran. Les gouvernements occidentaux commencent, enfin, à réagir, mais il faut en terminer avec la pusillanimité et la complaisance : il faut qu'ils boycottent la Conférence de Genève, purement et simplement.

Un avocat belge, Philippe CHANSAY-WILMOTTE, relève un fait négligé de tous : la Conférence de Genève, placée dans une perspective islamisante, est un marché de dupes, car les Etats islamiques ont conclu, entre eux, un pacte d'intolérance. Préparant un article à ce sujet, il a écrit à de nombreux parlementaires, notamment à tous ceux de France, de Suisse, de Belgique et du Luxembourg, afin de les inviter à lui faire part des initiatives qu'ils entendent prendre afin que, dans le domaine juridique, les libertés individuelles soient respectées de sorte que soit tenue en échec cette offensive obscurantiste. En annexe, vous trouverez cette lettre et son annexe.
 
   
Merci de diffuser ce courrier, le plus largement possible.     
   
Philippe CHANSAY-WILMOTTE, Avocat au Barreau de Bruxelles, est coutumier d'affaires sensibles, en particulier en circonstances de guerres ou de sanctions internationales. Il est intervenu notamment pour des autorités de pays arabes. C'est son expérience de ce genre de situations qui l'a rendu attentif aux manouvres d'islamisation. De façon générale, les juristes occidentaux semblent tout ignorer des traités conclus par les Etats islamiques ; pas lui !  Philippe CHANSAY-WILMOTTE est jusqu'à présent le seul à avoir signalé l'existence du pacte d'intolérance émanant de l'ORGANISATION DE LA CONFERENCE ISLAMIQUE légitimant la christianophobie, et visant d'ailleurs à éliminer tout ce qui ne se soumet pas à la charia. C'est , en quelque sorte, la planification d'un génocide religieux.  



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